sujet BEM français

Texte : la rééducation.

Chaque jour, une infirmière de l’hôpital
venait imposer à marcelle de faire le tour d’une chaise, d’un meuble de
la pièce. Elle lui avait procuré une canne avec un bout de caoutchouc
pour s’aider.
« Veux-tu bien te servir de cette canne ? »
Non !...Non !...laissez !
Tu n’es pas raisonnable, tu n’es pas encore bien solide.
Mais
elle n’avait nullement à lui imposer ces exercices .Marcelle les
exécutait volontiers … En refusant le secours de la canne …
« Tenez ! Retardez ! »
« Tu risques de tomber… et si tu tombes, il faudra t’opérer de nouveau »
Marcelle fixait l’infirmière de ses grands yeux verts emplis de douceur caressante où pétillait une pointe de malice.
Ne
craignez rien ……je n’ai pas envie de démolir ce qui a été si difficile à
arranger … Mais je n’ai pas envie non plus de rester clouée là.
Et avant que l’autre eut pu intervenir, elle avait, s’accrochant aux meubles, s’appuyant aux murs,
Entrepris le tour de la pièce, obligeant son genou à se plier malgré lui.
Oh ! Ma petite Marcelle … c’est formidable la volonté de Marcelle l’emporta.
Paul Marmont, princesse de l’air .


Questions :

I. Compréhension de l’écrit :
1. choisis la bonne réponse. l’infirmière apprenait à Marcelle à :
_ soigner
_ marcher
_ danser
2 .Quel objet devait-il l’aider ?
3. Réponds par vrai ou faux :
- Marcelle a été opérée
- Cela n’a pas été opéré
4. Reléve l’expression qui montre que l’infirmière était contente.
5.
Dans la phrase suivante, remplace la subordonnée de temps par un cct ;
avant que l’infirmière n’intervienne, Marcelle bougea son pied.
6. Les deux femmes ont-elles le même avis ? Relève deux phrase qui le montrent .
7. Reléve du texte une proposition subordonnée de condition.
8. À quel temps sont les verbes de la phrase suivante.
« Tenez ! Regardez ! »

II. Production écrite :
L’hôtesse
de l’air annonça qu’on allait atterrir.Deux passagers descendent. L’un
jugea que le voyage était agréable, l’autre pense le contraire.

Complète ce récit en insérant le dialogue qui a eu lieu entre les deux passagers

merci beaucoup

dr1 ma cherie