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L'HISTOIRE SUR LA JS KABYLIE
الجمعة 11 فبراير - 21:49
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Naissance d'une légende
Lorsqu'une poignée de jeunes sportifs eurent le mérite de créer en
1946 , à Tizi-Ouzou , la
Jeunesse Sportive de Kabylie, ils ne se doutaient certainement pas que
le club phare du Djurdjura allait dominer un jour le football algérien
voir même africain.
En effet, que de chemin parcouru depuis 1946 où, durant l'époque
coloniale, la JSK dût végéter, tout comme les clubs musulmans d'alors,
dans les divisions inférieures d'autant plus que dans les années 50,
l'Olympic de Tizi-Ouzou (OTO), un club colonial, occupait, en Kabylie,
le devant de la scène grâce à ses grandes ressources financières et ses
nombreux privilèges administratifs.
Comme tous les clubs musulmans , la JSK cessa toute activité durant la
guerre de libération (1954-62) et ne ressuscita qu'en 1962, au lendemain
de l'indépendance de l'Algérie.
La JSK, malgré plusieurs joueurs de valeur tels que Terzi, Zeghdoud,
Khalfi et Haouchine, végéta durant plusieurs saisons en Division
d'Honneur aux côtés du WA Boufarik, de l'ASO Chlef, de l'USM
Maison-Carrée, de l'OM Ruisseau, etc ...
L'accession en Nationale I
Puis vint alors la fameuse saison 1967-68 où la JSK des Kolli,
Kouffi, Karamani, Ouahabi et autres Derridj put enfin accéder en
Nationale II, sous la houlette d'un entraîneur de renom, le regretté Ali
Benfadah, un ex-joueur de la glorieuse équipe du FLN.
Sur sa lancée, la formation kabyle fit un passage éclair en Nationale
II, puisqu'elle accéda la saison d'après ( 1968-69 ) en Nationale I.
Sous la direction du Français Jean Lemaître (1969-70) puis du regretté
Abdelaziz Bentifour (1970-71) remplacé, après son décès accidentel, par
Abderrahmane Boubekeur, la JSK fit alors son apprentissage parmi l'élite
avant de bâtir une conquête du football algérien puis africain.
Une période marquée par onze titres de Champion d'Algérie, un record à
ce jour, quatre Coupes d'Algérie, deux Coupes d'Afrique des Clubs
Champions, une Coupe d'Afrique des Vainqueurs de Coupes , une
Super-Coupe d'Algérie, une
Super-Coupe d'Afrique et enfin 3 coupes de la CAF qu'elle remporta
succéssivement en 2000, 2001 et 2002.
La JSK a donné au football algérien des joueurs de renom tels que Arezki
Kouffi, Driss Kolli, Mohand Chérif Hannachi, Rachid Dali, Kamel Aouis,
Abdellah Djebbar, Mehdi Cerbah, Kamel Tahir, Mouloud Iboud, Bachir
Douadi, Mahfoud Boukadoum, Abderrezak Harb , Salem Amri, Mokrane
Bailèche, Arezki Meghrissi, Salah Larbès, Mourad Amara , Abdelhamid
Sadmi, Rachid Adghigh, Ali Fergani, Djamel Menad, Hakim Medane, Mustapha
Anane, le regretté Hocine Amrous, Rabah Menguelti, Rachid Baris, Ali
Benlahcèn, Mahieddine Meftah , Omar Hamened , Nacer Bouiche , Moussa
Saib , Aziz Benhamlat et tout récemment encore les jeunes Brahim Zafour
et Farid Ghazi , tous d'authentiques internationaux.
Par ailleurs, la JSK a été drivée par des coachs de renom tels que les
Roumains Popescu , Bazyl Marian ,Peter Matiga , le Hongrois Lenner , les
vielles gloires du football algérien Tahar Belhadj (ex-Le Havre),
Belkacem Allouche (ex-AS St Etienne), Hacène Hamoutène (ex-MC Alger et
France Olympique en 1948), le regretté Abdelaziz Bentifour (ex-OGC Nice
et ex-FLN), Abderrahmane Boubekeur (ex-AS Monaco et ex-FLN), Amar Rouai
(ex-Angers et ex-FLN), Mokrane Oualiken ( ex-Nîmes et ex-FLN ) sans
oublier le tandem Mahieddine Khalef et le regretté polonais Stéfan
Zywotko qui, en quatorze ans de règne (1975-89) marquèrent les plus
belles pages de la JSK.
Ces dernières années, d'autres coachs bien connus, Nour Benzékri,
Noureddine Saâdi, Djaâffar Harouni et Brahim Ramdani ont marqué de leur
empreinte le parcours élogieux de la JSK.
La saison 1997-98, voit Kamel Mouassa, un entraîneur sérieux et
compétent de Guelma, devenir le coach attitré de la JSK au sein de
laquelle il va rebâtir une grande équipe.
Naissance d'une légende
Lorsqu'une poignée de jeunes sportifs eurent le mérite de créer en
1946 , à Tizi-Ouzou , la
Jeunesse Sportive de Kabylie, ils ne se doutaient certainement pas que
le club phare du Djurdjura allait dominer un jour le football algérien
voir même africain.
En effet, que de chemin parcouru depuis 1946 où, durant l'époque
coloniale, la JSK dût végéter, tout comme les clubs musulmans d'alors,
dans les divisions inférieures d'autant plus que dans les années 50,
l'Olympic de Tizi-Ouzou (OTO), un club colonial, occupait, en Kabylie,
le devant de la scène grâce à ses grandes ressources financières et ses
nombreux privilèges administratifs.
Comme tous les clubs musulmans , la JSK cessa toute activité durant la
guerre de libération (1954-62) et ne ressuscita qu'en 1962, au lendemain
de l'indépendance de l'Algérie.
La JSK, malgré plusieurs joueurs de valeur tels que Terzi, Zeghdoud,
Khalfi et Haouchine, végéta durant plusieurs saisons en Division
d'Honneur aux côtés du WA Boufarik, de l'ASO Chlef, de l'USM
Maison-Carrée, de l'OM Ruisseau, etc ...
L'accession en Nationale I
Puis vint alors la fameuse saison 1967-68 où la JSK des Kolli,
Kouffi, Karamani, Ouahabi et autres Derridj put enfin accéder en
Nationale II, sous la houlette d'un entraîneur de renom, le regretté Ali
Benfadah, un ex-joueur de la glorieuse équipe du FLN.
Sur sa lancée, la formation kabyle fit un passage éclair en Nationale
II, puisqu'elle accéda la saison d'après ( 1968-69 ) en Nationale I.
Sous la direction du Français Jean Lemaître (1969-70) puis du regretté
Abdelaziz Bentifour (1970-71) remplacé, après son décès accidentel, par
Abderrahmane Boubekeur, la JSK fit alors son apprentissage parmi l'élite
avant de bâtir une conquête du football algérien puis africain.
Une période marquée par onze titres de Champion d'Algérie, un record à
ce jour, quatre Coupes d'Algérie, deux Coupes d'Afrique des Clubs
Champions, une Coupe d'Afrique des Vainqueurs de Coupes , une
Super-Coupe d'Algérie, une
Super-Coupe d'Afrique et enfin 3 coupes de la CAF qu'elle remporta
succéssivement en 2000, 2001 et 2002.
La JSK a donné au football algérien des joueurs de renom tels que Arezki
Kouffi, Driss Kolli, Mohand Chérif Hannachi, Rachid Dali, Kamel Aouis,
Abdellah Djebbar, Mehdi Cerbah, Kamel Tahir, Mouloud Iboud, Bachir
Douadi, Mahfoud Boukadoum, Abderrezak Harb , Salem Amri, Mokrane
Bailèche, Arezki Meghrissi, Salah Larbès, Mourad Amara , Abdelhamid
Sadmi, Rachid Adghigh, Ali Fergani, Djamel Menad, Hakim Medane, Mustapha
Anane, le regretté Hocine Amrous, Rabah Menguelti, Rachid Baris, Ali
Benlahcèn, Mahieddine Meftah , Omar Hamened , Nacer Bouiche , Moussa
Saib , Aziz Benhamlat et tout récemment encore les jeunes Brahim Zafour
et Farid Ghazi , tous d'authentiques internationaux.
Par ailleurs, la JSK a été drivée par des coachs de renom tels que les
Roumains Popescu , Bazyl Marian ,Peter Matiga , le Hongrois Lenner , les
vielles gloires du football algérien Tahar Belhadj (ex-Le Havre),
Belkacem Allouche (ex-AS St Etienne), Hacène Hamoutène (ex-MC Alger et
France Olympique en 1948), le regretté Abdelaziz Bentifour (ex-OGC Nice
et ex-FLN), Abderrahmane Boubekeur (ex-AS Monaco et ex-FLN), Amar Rouai
(ex-Angers et ex-FLN), Mokrane Oualiken ( ex-Nîmes et ex-FLN ) sans
oublier le tandem Mahieddine Khalef et le regretté polonais Stéfan
Zywotko qui, en quatorze ans de règne (1975-89) marquèrent les plus
belles pages de la JSK.
Ces dernières années, d'autres coachs bien connus, Nour Benzékri,
Noureddine Saâdi, Djaâffar Harouni et Brahim Ramdani ont marqué de leur
empreinte le parcours élogieux de la JSK.
La saison 1997-98, voit Kamel Mouassa, un entraîneur sérieux et
compétent de Guelma, devenir le coach attitré de la JSK au sein de
laquelle il va rebâtir une grande équipe.
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